Usine de production d'huile de palme de 20 tonnes par jour au Cameroun

                                               
                                               
                                               
                                               
  • Usine de production d'huile de palme de 20 tonnes par jour au Cameroun

Quelle est la demande d’huile de palme brute au Cameroun ?

Selon l’Asroc, la demande des unités de transformation industrielle de l’huile de palme brute au Cameroun atteint aujourd’hui plus d’un million de tonnes par an. Cependant, l’offre locale n’a pas suivi cette augmentation de la demande.

Quelle est la demande nationale en huile de palme ?

La demande nationale en huile de palme est estimée à 1,17 million de tonnes, alors que la production nationale ne couvre que 360 000 tonnes, laissant un écart de 819 252 tonnes à combler. La filière de la palme à huile est principalement soutenue par les plantations industrielles et villageoises, organisées autour de cinq principaux acteurs.

Quels sont les nouveaux acteurs de l’huile de palme au Cameroun ?

La marque « Oleo » de Novia ainsi que les savons « Uno » et « Jazz » sont déjà présents sur les marchés et dans les grandes surfaces du pays. Cependant, malgré l’arrivée de ces nouveaux acteurs, l’industrie de l’huile de palme au Cameroun fait face à un déficit structurel croissant.

Quels sont les nouveaux arrivants du Cameroun ?

Parmi ces nouveaux arrivants, on retrouve la Société de raffinage du Cameroun (Sorac) et la Nouvelle raffinerie du Cameroun, qui prévoient de mettre sur le marché respectivement 100 000 tonnes et une capacité de production journalière de 500 tonnes d’huile raffinée.

Pourquoi les opérateurs importent-ils de l’huile de palme brute ?

Ce qui oblige les opérateurs à importer massivement de l’huile de palme brute pour approvisionner les raffineries de plus en plus nombreuses.

Qui peut compléter les quotas des producteurs industriels d’huile de palme brute ?

Afin de pouvoir compléter les quotas à eux attribués auprès des producteurs industriels d’huile de palme brute, les raffineurs n’hésitent pas souvent à recourir aux propriétaires des plantations villageoises, dont les superficies représentent quasiment le double de celles des plantations industrielles au Cameroun.