Ligne de production d'huile d'arachide vierge au Sénégal

                                               
                                               
                                               
                                               
  • Ligne de production d'huile d'arachide vierge au Sénégal

Comment transformer l’arachide en huile à Madagascar?

La transformation de l’arachide en huile à Madagascar commence par le séchage des graines jusqu’à une teneur en eau de l’ordre de 4 à 5%. Ensuite, les graines sont entreposées dans des locaux secs et convenablement ventilés. Il est important de transformer l’arachide pour obtenir l’huile.

Pourquoi le Sénégal importe-t-il de l’huile d’arachide ?

De 2000 à 2011, le Sénégal a importé 3119,6 tonnes d’huile d’arachide. Le Sénégal occupe une place importante dans les importations d’huile végétale (Soja, tournesol). En effet, la SUNEOR importe chaque année des quantités importantes d’huiles de soja, les raffine et vend sur le marché domestique.

Où est cultivée l’arachide au Sénégal ?

La culture de l’arachide est concentrée dans la zone sénégalaise qui représente environ 1/3 des terres agricoles sénégalaises et emploie près de 2/3 de la population active dans le secteur agricole.

Qui fabrique l’huile d’arachide ?

Suneor est le premier exportateur mondial d’huile d’arachide en 2007 (www.Suneor.sn) avec une capacité de trituration de 600000 tonnes par an. Les principales marques de Suneor sont «Niani» et «Ninal» pour l’huile.

Quelles sont les huiles végétales importées par le Sénégal ?

Le Sénégal occupe une place importante dans les importations d’huile végétale (Soja, tournesol). En effet, la SUNEOR importe chaque année des quantités importantes d’huiles de soja, les raffine et vend sur le marché domestique. De 2000 à 2011, le Sénégal a importé 3119,6 tonnes d’huile d’arachide.

Comment conduire un projet de production d’arachides en huiles alimentaires ?

La conduite de projet met l’accent sur la transformation des arachides en huiles alimentaire pour définir ensuite la capacité de production envisagée qui évolue dans le temps dans le sens croissant.